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Cannabis et CBD : Quels sont les pays où leur consommation est légale ?

Posté le janvier 16, 2025 par Anthony.

Est-ce que vous aimez voyager ? Si oui, il y a fort à parier que vous vous êtes déjà posé cette question : puis-je emporter quelques grammes sur moi dans ce pays étranger ? Une question simple en apparence, mais une recherche rapide en ligne et vous voila bombardé d’informations contradictoires. Pourquoi ? Parce que les législations sur le cannabis et le CBD varient énormément d’un pays à l’autre et évoluent sans cesse.

Et encore, tout dépend de ce que vous transportez ! Quelques fleurs de CBD soigneusement sélectionnées ? Ou un peu de cannabis pour usage personnel ? La nuance peut être lourde de conséquence. Là où le CBD est souvent perçu comme une alternative légale et bénéfique, le cannabis, avec sa teneur en THC, reste sujet à des lois bien plus sévères dans la majorité des pays. Mais, ne cherchez plus ! Toutes les informations se trouvent sur Golden CBD, qui vous propose un focus sur les lois internationales, pour mieux comprendre les zones de tolérance, les interdictions catégoriques et vous offrir quelques alternatives pour un effet planant en toute légalité. De quoi voyager sereinement sans risquer de finir au fond d’une prison en Turquie.

La légalisation du cannabis dans le monde

Qu’il soit consommé pour le plaisir, prescrit par un médecin ou acheté en pharmacie sous forme de crème au cannabidiol, le cannabis se décline en de nombreuses catégories aux cadres légaux tous très différents. Le cannabis à usage récréatif, axé sur la recherche d’effets psychoactifs liés au THC, se démarque nettement de son homologue médical, dont l’objectif premier reste le soulagement de certaines pathologies spécifiques. Le CBD, que vous connaissez bien, est un cannabinoïde non psychoactif, considéré comme moins problématique légalement en raison d’un taux de THC très faible. Dans la plupart des législations, la teneur autorisée en THC se limite généralement entre 0,2% et 0,3%, un seuil qui différencie nettement un produit vendu comme complément bien-être d’un produit qui peut, selon les pays, nécessiter plus de contrôle.

Pour autant, certaines nations assument pleinement la légalisation du cannabis récréatif. Le Canada a ouvert la voie en 2018, autorisant les adultes à posséder jusqu’à 30 grammes de weed et à cultiver chez eux, tandis que l’Uruguay, dès 2013, est devenu un pionnier en établissant un contrôle d’État strict et en soutenant des coopératives pouvant aller jusqu’à 99 plants ! Aux États-Unis, plusieurs États, notamment la Californie, le Colorado, l’Oregon et New York, ont légalisé l’usage récréatif du cannabis pour les adultes, bien que cette pratique demeure interdite au niveau fédéral. En Afrique du Sud, la Cour constitutionnelle a légalisé l’usage personnel du cannabis en 2018, bien que la vente commerciale reste interdite, tandis qu’en Thaïlande, le cannabis a été dépénalisé en 2022.

Même si la vente récréative n’est pas officiellement légalisée, la consommation est largement acceptée. Dans les Caraïbes, la Jamaïque a dépénalisé la possession de petites quantités et permet aux rastafariens d’en faire un usage religieux. C’est d’ailleurs la même chose au Brésil pour usage médical et religieux. Le Mexique, de son côté, a vu sa Cour suprême décriminaliser l’usage personnel en 2021, bien que le cadre législatif pour la culture et la vente reste flou. En Australie, certaines régions comme le Territoire de la capitale australienne ont également dépénalisé l’usage personnel et autorisent la culture limitée. En Colombie, la législation actuelle autorise la culture de jusqu’à 20 plants de cannabis et limite la possession à 20 grammes pour un usage strictement personnel, mais la consommation en public et la commercialisation restent interdites. Au Costa Rica, le cannabis est techniquement illégal, mais sa consommation est largement tolérée, avec une dépénalisation de fait pour des quantités modérées. Cependant, aucune limite précise n’a été fixée.

En Inde, le cannabis est légal et réglementé par le gouvernement. En Israël, l’usage médical est autorisé, et la consommation personnelle a été décriminalisée, avec des sanctions légères en cas de première interpellation. Le Liban a également décriminalisé le cannabis pour un usage médical. Au Maroc, bien que la vente, la possession et l’usage de cannabis soient illégaux, la production est tolérée dans certaines régions comme le Rif, sous une régulation stricte héritée de l’époque coloniale. Au Pérou, la possession de cannabis est légale depuis 2003 à condition de ne pas être en possession d’une autre drogue simultanément. En Russie, la consommation est tolérée, et la culture est dépénalisée depuis 2010 avec une limite de 20 plants autorisés. Les usagers risquent une amende uniquement s’ils possèdent plus de 6 grammes. Petite information pour briller en soirée, le cannabis serait légal en Corée du Nord ! Vous remarquerez qu’on utilise le conditionnel « serait » parce qu’avec le flou qui entoure ce que l’on sait réellement sur ce pays, on ne mettrait pas notre main à couper que ce soit vrai.

Dans le même temps, des régions du globe adoptent des positions diamétralement opposées. En Asie, des États tels que Singapour ou l’Indonésie appliquent des sanctions extrêmement lourdes, incluant de longues peines de prison, voire pire ! Au Moyen-Orient, l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis maintiennent une tolérance zéro, sans distinction entre petites quantités personnelles et trafic organisé. Pour les voyageurs, le risque est réel : quelques grammes de cannabis, tolérés chez eux, peuvent déboucher sur des conséquences pénales lourdes à l’étranger. Sans cadre international unifié, il devient plus qu’important de connaître précisément la législation du pays visité, car la simple détention d’un produit considéré inoffensif à domicile peut s’avérer hautement problématique sous d’autres latitudes. Dites-vous bien que chaque frontière implique une réévaluation des règles et contraintes liées à la weed !

 

La légalité du CBD à l’échelle mondiale

Le CBD, contrairement au cannabis traditionnel, bénéficie d’une meilleure acceptation internationale, même si, là encore, les réglementations varient considérablement selon les régions. Nous vous le disions précédemment, en Europe, la quasi-totalité des pays autorise le cannabidiol à condition que la teneur en THC n’excède pas 0,2%, une norme qui permet d’écarter la plupart des effets psychoactifs, tout en gardant les propriétés bénéfiques du CBD. L’Italie va plus loin, en allant jusqu’à 0,5% ! Aux États-Unis, la législation fédérale de 2018 a fixé le seuil à 0,3%, mais l’application concrète relève de chaque État, certains affichant une tolérance très souple, tandis que d’autres exercent un contrôle plus appuyé. De son côté, le Canada a opté pour une légalisation complète, assortie de normes sévères en termes de qualité, d’origine et de méthodes de production.

En contraste, certaines zones mondiales restent ambiguës, voire carrément hostiles ! En Russie, le statut légal du CBD n’est pas clairement défini, entraînant des confiscations fréquentes de marchandises pourtant conformes à d’autres juridictions. En Asie, la disparité est notable, le Japon exige l’absence totale de THC dans le CBD, alors qu’un pays comme la Thaïlande demeure extrêmement restrictif, plaçant souvent les voyageurs dans une position inconfortable.

Malgré toutes ces divergences légales, le marché du CBD connaît une croissance mondiale à un rythme soutenu, attirant les entreprises, les investisseurs et les consommateurs de plus en plus nombreux. Le Canada, les États-Unis, la Suisse, l’Espagne et l’Uruguay sont considérés comme les principaux fournisseurs, produisant une large gamme de dérivés, huiles, compléments, infusions, cosmétiques, chacun visé par des normes de plus en plus exigeantes.

 

CBD, cannabis, faisons un focus sur l’Europe !

Quand vous parcourez l’Europe, la diversité des approches légales en matière de cannabis saute immédiatement aux yeux ! Dans certains États membres, la législation évolue rapidement, tandis que d’autres maintiennent une ligne directrice particulièrement stricte. Un exemple frappant se trouve outre-Rhin, avec le cannabis récréatif légalisé en Allemagne dès 2024, une belle avancée sur le continent. Là-bas, les adultes peuvent désormais posséder jusqu’à 25 grammes de weed, même si certaines limitations de bon sens, telles que l’interdiction de consommer à proximité des écoles ou des crèches, encadrent fermement cette nouvelle liberté. Les Cannabis Social Club y émergent comme une forme originale de régulation, en plaçant la communauté au cœur du dispositif. Aux Pays-Bas, la réputation des coffee-shops n’est vraiment plus à faire, même si la légalité de ces établissements demeure, en réalité, beaucoup plus nuancée. Leur existence repose sur une politique de tolérance, accordant aux clients l’achat de 5 grammes maximum, mais la culture reste, curieusement, illégale. La Suisse, quant à elle, a vu plusieurs cantons lancer des initiatives expérimentales pour explorer la régulation du cannabis à usage récréatif. Ces programmes visent à évaluer l’impact de la légalisation contrôlée sur la santé publique et la société.

Le Portugal, en revanche, a opté dès 2001 pour une approche radicalement différente en décriminalisant l’usage de l’ensemble des drogues, y compris la weed ! Les consommateurs pris avec de petites quantités encourent avant tout des sanctions administratives, ce qui permet de limiter l’encombrement des tribunaux et de traiter la consommation problématique de drogue sous l’angle sanitaire plutôt que pénal. Malte, pionnier au sein de l’Union européenne, a pleinement légalisé la possession personnelle de cannabis, permettant aux citoyens de détenir jusqu’à 7 grammes et de cultiver jusqu’à 4 plants par foyer pour leur usage privé. Le Luxembourg, quant à lui, a légalisé la possession et la culture de cannabis à domicile depuis 2021, avec une limite fixée à 4 plants par foyer. Toutefois, la vente commerciale reste strictement interdite, maintenant ainsi un contrôle étroit sur le marché.

Sur le plan législatif, certains pays affichent des positions singulières. La Pologne a modifié sa loi en mai 2011, introduisant des dispositions permettant de ne pas poursuivre les individus en possession de petites quantités destinées à un usage personnel. Cependant, cette loi ne s’applique pas aux trafiquants, et les peines pour distribution de grandes quantités ont été alourdies, passant d’un maximum de 10 ans à 12 ans d’emprisonnement. En Estonie, la consommation de cannabis est illégale, mais sa détention est tolérée dans certaines limites. Jusqu’à 10 grammes, la possession est considérée comme un usage personnel et est sanctionnée par une simple amende. En revanche, les quantités plus importantes ainsi que le trafic sont des délits pénaux pouvant entraîner une amende ou une peine de prison allant jusqu’à 5 ans. En Autriche, bien que la consommation de cannabis soit officiellement illégale, un amendement de 2008 a supprimé la distinction entre petites et grandes quantités, rendant ainsi la culture de plants de cannabis légale, à condition qu’ils ne soient pas en phase de floraison. Cette particularité offre un cadre juridique ambigu pour les cultivateurs à usage personnel.

Au-delà de la simple défonce, l’usage médical du cannabis trace un autre schéma, tout aussi complexe. La Belgique et le Danemark autorisent la prescription sur ordonnance, mais uniquement pour des affections graves, tandis qu’en République tchèque, ce cadre médical existe depuis 2012, avec une production nationale encore très timide. En Finlande, le cannabis est décriminalisé uniquement pour un usage médical extrêmement limité, et à la date du 31 janvier 2010, seulement 12 personnes, pour des raisons médicales, étaient autorisées à en acheter dans une pharmacie située à Turku. La Slovaquie considère le CBD comme un stupéfiant, rendant impossible l’accès à ce type de produit, tandis que l’Italie se démarque en acceptant un taux de THC allant jusqu’à 0,5%, stratégie visant à booster une filière nationale en plein développement. On sent bien que l’Europe tâtonne encore pour trouver un équilibre.

 

Tolérance, légalisation, ça avance lentement, mais sûrement

En Espagne, l’accès au cannabis passe par des clubs privés ouverts aux seuls membres, mais la consommation sur la voie publique demeure interdite. Au Mexique, la détention de moins de 5 grammes est dépénalisée, tandis qu’un vaste projet de légalisation totale est encore en débat, ce qui reflète assez bien la difficulté à trouver un consensus national. Ces approches hybrides, plus permissives que répressives, accompagnent une transformation culturelle plus large, dans laquelle le tourisme cannabique est devenu un phénomène en plein essor, qui attire des visiteurs vers les Pays-Bas ou le Canada, où l’offre légale est perçue comme plus sûre et mieux contrôlée.

Pourtant, malgré ces avancées, le marché noir persiste. Même dans des pays où la loi est plus souple, le contrôle des filières demeure délicat, comme on le constate aux États-Unis, où une légalisation partielle n’empêche pas l’existence de réseaux illégaux. Une législation floue entraîne régulièrement des arrestations, parfois surprenantes, surtout dans des contextes où les réglementations locales sont permissives, mais mal comprises. Les consommateurs, souvent mal informés de tous les effets du THC ou des lois spécifiques à leur destination, s’exposent ainsi à des sanctions injustes. L’absence d’un cadre international clair limite les progrès, mais permet de constater la nécessité d’une harmonisation pour protéger les individus et éviter les dérives liées à la prohibition sélective.

 

Le cannabis en France, quelle est l’alternative planante et légale ?

Sans surprise, en France, la législation reste l’une des plus restrictives d’Europe en ce qui concerne le cannabis récréatif. Toute consommation, possession ou vente est illégale, exposant les contrevenants à des sanctions pouvant inclure une amende forfaitaire de 200€ dès qu’ils transportent moins de 100 grammes.

Parallèlement, un cadre expérimental pour le cannabis médical existe depuis 2021, avec des patients sélectionnés à des fins thérapeutiques, et cette phase devrait se prolonger jusqu’en 2025. Sur un autre terrain, les produits au CBD évoluent dans un environnement plus permissif, à condition de respecter la teneur maximale en THC de 0,3%. Depuis 2022, les fleurs et résines de CBD sont autorisées, un changement qui a rapidement contribué à leur popularité auprès des consommateurs français. Beaucoup s’intéressent aux bénéfices de ces produits, notamment leur capacité à réduire le stress, améliorer la qualité du sommeil ou soulager certaines douleurs, le tout sans provoquer l’état psychotrope associé à la weed classique.

Cependant, le marché français n’est pas uniquement tourné vers le CBD, loin de là ! Si le cannabis est illégal, une alternative légale attire de plus en plus l’attention, le puissant et planant Delta-P, un isomère du THC. Ce composé, parfois appelé THC-P, présente des effets plus puissants, estimés jusqu’à 33 fois plus intenses que ceux du THC de base. Cette différence découle d’une structure chimique modifiée, créant une affinité accrue avec les récepteurs cannabinoïdes de l’organisme. Résultat, une sensation plus marquée, satisfaisant les amateurs de sensations fortes en quête de découvertes inédites et surtout de défonce ! Et si vous vous demandez où trouver de la weed ou du shit Delta-P, ne cherchez plus, rendez-vous chez Golden High, votre fournisseur de produits de qualité, élaborés dans le plus grand respect des normes et des consommateurs. Il est temps de kiffer en toute légalité, et pour cela, vous avez définitivement besoin du Delta-P !

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